Le Val d’Aran a une superficie de 620 Km et 30% de son territoire est au-dessus des 2.000 m d’altitude. Il est limitrophe au nord avec la France, au sud avec l’Alta Ribagorza et l’Aragon, à l’est avec le Pallars Sobirà, et à l’ouest, de nouveau, avec l’Aragon et la France.

Vous saurez le chemin le plus court pour arriver à Vielha, la capitale du Val d’Aran. Introduisez votre localité d’origine et le site fera le reste.

Les alternatives pour se déplacer dans le Val d’Aran sont diverses. Il y a un bon réseau de routes aussi bien en bus qu’en taxi, le transport est rapide et commode. Vous trouverez certains conseils afin de faciliter vos déplacements dans la vallée

Les 33 villages qui font partie du Val d’Aran forment un esemble d’une saveur ancienne où la pierre, le bois et l’ardoise se mélangent avec la beauté de l’intense nature de ses parages montagneux et alpins. Tous et chaque villages ont des caractéristiques propres qui se relèvent dans ses tours et clochers, et vous les découvrirez dans la liste suivante classée alphabétiquement.

L’histoire du Val d’Aran est intimement liée à la culture occitane du sud de la France, dont les liens ont été toujours plus forts qu’avec la Péninsule ibérique à cause de la complexe orographie qui a été comme une frontière naturelle durant des siècles.

La gastronomie au Val d’Aran est un autre élément important de son patrimoine ethnologique, qui s’est récupéré spécialement ces dernières années grâce aux personnes et associatins de la Vallée, comme Gegant Madrónius, qui a rassemblé beaucoup de vieilles recettes de la tradition orale.

L’intense nature de la Vallée, avec des forêts feuillues et des forêts de conifères, alternées avec des prés alpins et subalpins, et de belles parties fluviales ou de lacs, se trouve à chaque pas et seulement en ouvrant la porte de l’endroit où le visiteur est logé. 

Lorsque le Val d’Aran vivait un des moments clé de son histoire, entre le XIVe et le XVe siècle, où pendant de longues années de batailles entre francs et hispaniques abouti à la reconnaissance des privilèges qui respecteraient son autonomie d’organisation par différents traités et la Querimonia qu’accorda Jaime II, donna forme aussi à une langue qui serait jusqu’à nos jours son symbole de distinction: l’aranais.